30 décembre 2006

Ceci n'est hélas pas une fiction

Destruction à Gand d'un important stock d'armes volées. Selon nos informations, ces armes auraient été volées à d'innocents particuliers qui avaient eu la naïveté de les déclarer il y a quelques années.
D'après la ministre de la "justice", la filière ne serait pas démantelée: on s'attend à de nouveaux vols au cours des six premiers mois de l'année.

23 décembre 2006

Få nin d'mandé l'walon....

Vochal lès fièses....

Djoyeux Noyé ! Ine clapante novinle ånâye a turtos !

15 décembre 2006

Li ptit Djåke sèreu ti biesse ?

Li grand Djåke c'èsteu Brel, ci chal c'èst Chirac.
Il aurait qualifié l'émission d'information-fiction de la RTBF de "Canular de mauvais goût". Il devient vieux Jacques, peut-être même con? Il manque d'humour...à mon avis il y a cru...et ça ne lui plait pas. Ou alors, il voulait récupérer la Wallonie et a cru que c'était arrivé ?
Heureusement, les Bretons, les Basques, les Flamands, les Alsaciens ne menacent pas de faire sécession, ils sont tellement fiers d'être Français qu'ils en ont tous un gros cou.
Nous, on est Belges...et on y tient, c'est pour cela qu'on apprécie les émissions qui secouent le cocotier et qui font réfléchir à un séparatisme possible.
Toujours est-il que la Légion d'Honneur pour le réalisateur Dutilleul, cela ne semble pas pour demain.

14 décembre 2006

GENIAL….bravo, bravissimo à la RTBF

En plein dans le mille ! Tellement dans « l’air du temps » que beaucoup de gens n’ont pas compris l’avertissement concernant la fiction.
Et les politiciens qui s’indignent, ils ont un fameux toupet, eux qui n’arrêtent pas de jouer des mécaniques des deux côtés de la frontière linguistique, eux qui n’arrêtent pas de faire monter la tension à coup de réformes intitutionnelles.
Evidemment mettre le débat sur la place publique, ça ne leur permet plus de ronronner entre eux, cela a valeur de référendu...et on n’en veut pas de référendum, c'est eux "l'avis du peuple", pas le peuple !
Pour une fois que la RTBF ne leur lèche pas le cul, les voilà qui s’indignent.
Les premières réactions ont été lamentables : Onckelinx, Reynders, Laalan, Di Rupo, Antoine….triste spectacle !
Les réactions des chefs de groupe sont déjà plus nuancées : Wathelet, pitoyable, Bacquelaine, itou, mais Gillet, bon, Nollet aussi.
Verhofstad, mauvais, Milquet, partisante de la langue de bois : on ne parle pas de cela, on ne plaisante pas avec cela, comme s’il s’agissait de plaisanterie !
Les gens les plus lucides (ou les plus intelligents) ont parlé de « déclenchement d’un vrai débat populaire » et « d’audace » : bravo Eric Domb.
On doit décorer le réalisateur Dutilleul...Martine Simonis a été elle aussi très moche en insinuant qu’il s’agissait peut-être de publicité pour un livre.
Certains blogs seraient « poujadistes » pour le troufion de service de l’observatoire des médias , Benoit Grévisse. Non Monsieur , les blogs représentent l’avis des gens et effectivement pas ceux des médias. C’est l’avantage des blogs ! Et parler de poujadisme a été tout un temps un des moyens facile de clouer le bec aux gens ordinaires…ils ne se laissent plus faire.
En adoptant le même style que Madame Simonis ou que Monsieur Grévisse, on pourrait dire que les politiciens wallons trouvent scandaleux un documentaire fiction, mais n’ont pas trouvé scandaleux les abus, détournements et erreurs de gestion de la grande famille politique qui gère la Wallonie depuis des décennies.

MET et Ministère de la Région Wallonne

Les fonctionnaires menacent d'entreprendre des actions....Enfin pensez-vous: qu'ils agissent un peu !
Même qu'on veut en diminuer le nombre et dépolitiser les nominations...ils vont devoir être compétents et peut-être même travailler. L'horreur quoi !

04 décembre 2006

Ah la politique...

Dji n'so nin on "fan" di noss lidjwè Didier, min po çou qu'èst d'Courard, i få wèzé dire dès parey biestreyes: n'a rin oyou, n'a rin veyou....il est'aveul è soûrdô c't'ome la.
Cwand on sé kimint on fè tère l'opôzicion avou quéque cô d'gueûye...ci n'èst nin Anne-Marie qui m'va contredire, ley qui s'mavèle cwand on n'dit nin come ley ( è ina nin qu'onk qui m'la dit).