30 décembre 2007

Bonne Année quand même !


27 décembre 2007

Les boules de l'Islam

Atincion, divin l'Islam, on n'pou djouer avou des boules qui si c'èst po to fé pèter ou po touwer come å Pakistan.
On n'pou nin djouer avou les boules di Mahomet, come å Danemark, ni avou les cisses di Noyé come à Palå d'justice di Brussèle wice qui ça riskeye di lès ofinser (merci madame la greffière en chef !)

21 décembre 2007

Matraquage

Ou bien les gens sont stupides ou, à part la crise et ses conséquences, les journalistes n'ont rien d'autre à dire.
- A la une depuis des mois le réchauffement climatique
- 3-12 décembre 2007 : la conférence de Bali sur le climat
- Effet immédiat: le 16 décembre il gèle ! Gênant; il va falloir trouver un autre clou à enfoncer.
- Dès le 17 décembre: inversion de température, particules fines...diminution de l'espérance de vie....
Le problème du réchauffement climatique et de la pollution mérite une autre gestion que le "Panic Management".

17 décembre 2007

Cherchez l'erreur !

- Le secteur des voyages annonce : +4% en 2007
- Les syndicats annoncent : - 400 € de pouvoir d'achat en 2007
- Les statistiques disent : + 2.24 % d'inflation en octobre ( ramenée à l'année)
- Objectifs Kyoto pour le CO2 : - 8% par rapport à 1990

16 décembre 2007

Comme au foot...

Miss Belgique: Poulicek
1°dauphine: Kabeya

14 décembre 2007

Est-on dans le m....?

Si on l'cwire, on l'trovrè, a-t-i di , Mossieu 800000 bies'trèye.
Mins cwire-t-on çoula ,
On rote divin, sins l'voleûr.

12 décembre 2007

Questions à la une

Dja hoûté "Questions à la Une"....è çou qui dja oyou dès gastîs flamints, dine rêzon å cis qu'on fé l'émission "Bye bye Belgique": no d'vons nos d'mesfiyî !

Le bilinguisme à Bruxelles

Montage d'origine inconnue

11 décembre 2007

Ce que le Pourquoi-Pas écrivait en 1986.

Dja visité , pindant lès djourneyes dè patrimwine, l'hôtel de Selys-Longchamps. I n'aveu tot plin di "stewards" po akpagni lès djins.
Lès cis qui montrîne n'ont nin djåzé di çou qu'on n'veu pus. Portant, en 1986, on n'è djåzévé.

Enquête
sur un bâtiment
au-delà
de tout soupçon
Une commission d'enquête a été désignée par le conseil communal de Liège. Mis­sion : faire toute la lumière sur l'af­faire « Sélys-Longchamps ».
En 1977, la ville de Liège achetait ce superbe bâtiment, en emprun­tant (déjà) 18,5 millions au Crédit Communal. Le 16 septembre 1986, le même hôtel de Sélys-Long­champs était revendu à une société privée, pour 10 millions. On ne peut pas dire qu'il s'agit de la meilleure affaire que la ville ait faite mais en­fin, les temps étant ce qu'ils sont...
Là où la commission d'enquête va avoir à gratter, c'est sur ce qui s'est passé entre-temps. Le bâtiment est resté inoccupé, sans aucune affecta­tion. Est-ce pour le protéger ou dans l'espoir de le remettre dans l'état où il se trouvait au XVI' siè­cle? Toujours est-il que l'intérieur fut presque entièrement démonté. On a enlevé les boiseries, le plan­cher, les cheminées, l'escalier, les tapisseries, la décoration, les pavés. Tout cela a été entreposé, en divers endroits de la ville. En sécurité ? On se le demande. A première vue, il semble que certains éléments de décoration intérieure aient disparu. Erreur de rangement? On espère. En attendant, la commission va avoir pour tâche d'établir les res­ponsabilités politiques et adminis­tratives. Elémentaire, mon cher Watson... n
Hotel de Sélys:
c'était encore plus grave
qu'on ne croyait!
Décidément, l'hôtel de Sélys-Longchamps revient en force au premier plan de l'actualité. Nous vous parlions récem­ment des problèmes posés par une sorte d'anarchie histori­que de la restauration. Or, au conseil communal de Liège, Michel Firket, conseiller P.S.C., en a fait l'historique et c'est plutôt étrange. Il pose directement le problème de la res­ponsabilité des hommes politiques.
C'EST en février 1973 que la « Belgique industrielle » avait acheté l'hôtel de Sélys-Long­champs, un très beau bâtiment de la première moitié du XVIe siècle. Elle l'avait payé 14 millions et s'était astreinte au respect d'une clause draconienne :
— Il faudra respecter la qualité historique, artistique et archéologi­que de l'immeuble, vendu avec sa décoration, disait l'acte de vente.
Une clause que la « Belgique in­dustrielle» a bien respectée, puis­qu'il y avait encore du mobilier dans le bâtiment lorsque celui-ci fut vendu à la ville de Liège, pour 18 millions et demi, même si elle ne sa­vait pas très bien ce qu'elle allait en faire. Elle le fit expertiser par ses services d'architecture, qui furent séduits :
— La décoration est exception­nelle. C'est une très belle propriété, en très bon état, ayant conservé un ensemble décoratif de choix. Elle présente un intérêt certain en rai­son de sa situation, de son ancienneté, de son architecture et de son ornementation.
On n'est pas plus clair. La ville achète encore du mobilier aux héri­tiers, fait restaurer des tableaux, achète des matériaux. L'addition at­teint 3.200.000 F et la ville fait en­core procéder à une étude de la res­tauration des toitures, qui se chiffre encore à trois millions, ce qui ne vous restaure pas pour la cause une toiture.
L'histoire communale n'a pas re­tenu le nom de celui qui, en 1981, décida de décaper et sonder. Dame, il fallait savoir ce que valaient les maçonneries, les lambris, les plan­chers, les plafonds. Comment savoir ce qu'il a derrière un plafond? En l'arrachant. Et on y va, on arrache, on arrache tout. Voilà remis à nu, intérieurement, le bâtiment à la « décoration exceptionnelle »...
— Oui, direz-vous, on a soigneu­sement mis tout ça de côté et on a bien numéroté chaque élément...
Pensez-vous... On ne retrouvera jamais de grandes soieries chinoisesdu XVIII' siècle. Un pavé de Delft d'époque, de nos jours, représente une certaine valeur. De tous ceux qui garnissaient les cheminées de l'hôtel, on ne sait qu'une chose : c'est qu'ils étaient 3.209 et qu'on ne sait trop ce qu'on en a fait. Certains disent qu'ils sont entreposés avec d'autres pavés et du lot, on ne sait ceux qui viennent de l'hôtel de Sé­lys-Longchamps et ceux qui vien­nent d'ailleurs. D'autres disent que l'on en a cassé beaucoup, en les ôtant, en les transportant, en les rangeant... Et puis, il y a les pavés qui se perdent, ce n'est pas perdu pour tout le monde...
La régie des bâtiments, à Liège, possède de bonnes réserves. Il suffit de savoir qu'on y a entreposé le bu­tin des grandes démolitions de la ville pour en mesurer l'ampleur. Mais on n'y tient pas soigneuse­ment un répertoire à l'entrée, comme on l'imaginerait. Ce qui fait qu'un chat n'y retrouverait pas ses jeunes... Et à plus forte raison, n'y retrouve-t-on pas deux grandes portes vitrées dont les deux docu­ments évoqués plus haut (l'acte de vente de 1973 puis l'expertise de 1977) portent la trace... Au mieux, elles sont égarées. Au pire, l'un ou l'autre brocanteur a eu la chance de les mettre en vitrine... On peut sou­ligner que, agissant, elle, en « bon père de famille », la « Belgique in­dustrielle » avait fait procéder à de nombreux aménagements inté­rieurs, « respectant la qualité histori­que, artistique et archéologique » de l'immeuble mais personne ne sait ce qu'ils sont devenus lors du sac de 1981 (Charles le Téméraire, c'était nettement plus tôt). Quant aux meubles, on peut leur imaginer un sort comparable à celui des portes vitrées. Perdus, donnés, vendus? De temps à autre, au hasard, on en re­trouve un. On a mis la main, l'autre jour, presque par hasard, sur un bahut Renaissance que la ville, en 1977, avait payé la bagatelle de 170.000 F. Il était dans le bureau de la directrice d'une école de la ville. C'est une chance.
Aussi, par la voix de Michel Firket, le P.S.C. liégeois pose le problème de la responsabilité politique des élus, en même temps que celui de la responsabilité administrative des fonctionnaires.
— Il faudrait tout de même que l'on prenne des mesures pour que chacun paye ses erreurs ou ses né­gligences... On ne peut pas agir d'une façon définitive avec désin­volture... Le groupe propose un sys­tème qui permettrait de contrôler et de punir les actes des manda­taires. Une sorte de tribunal pour les élus, dont les attendus, on l'ima­gine, ne manqueraient pas de sel...J.P.W.

09 décembre 2007

Radio Mille Conneries vous parle


08 décembre 2007

Geen faciliteiten

Dji crèyéve qu'on z'aveu arèsté lès "référenda" è décidé d'eune frontîre "linguistique" disconte dès "facilités" d'vin les commeunes "à facilités". I-z-on minme dit qui s'esteu "bètonné" d'vin l'constitution.
E bin nenni, enn'è volè todi pus cès flaminds-là ! PAN - le grand hebdomadaire du mercredi - dihéve d'vin l'timps: "Les flaminds c'èst nin dès djins".
Avous zels, çou qu'èst d'à zels èst d'à zels è çou qu'est d'à nos-ôtes èst d'à to-l'monde !
Qu'on arèsteye avou tot çoula !

01 décembre 2007

Mixarena

Le seul mixer qui garantit la mixité sociale !