11 janvier 2008

Divins lès viyes gazètes

Dja r'trové eune pièle : eune artike so Ane-Marèye divins l'Pourquoi Pas ? dè 21.01.1987.
C'èst Jacques L. Henry qui scriéve :

"IL VA UNE TRAITRESSE DANS LA SALLE
Autre cas que celui d’Anne-Marie Vanderspeeten, Lizin par mariage! Cette agitée rendrait fébrile un paralytique! Toujours en mouvement. plus intrigante que travailleuse, dé plaçant plus l’air que les dossiers, elle joue la même carte depuis quinze ans: la provocation. Cela ne lui a pas si mal réussi: bourgmestre de Huy et député européen. Elle est arrivée mais dans quel état
Son truc : se propulser dans le sillage de grands hommes. Elle se lança dans l’ombre d’Edmond Leburton, passa chez Henri Simonet (l’époque de Mata-Henri) où elle constitua quelques dossiers qui lui permirent ensuite de moucharder son patron.
Ralliée à André Cools, puis à Jean Maurice Dehousse, elle n’est jamais parvenue à entrer dans les bonnes grâces de Guy Spitaels quelle excède. Cette frénétique qui rendrait macho une suffragette courtise actuellement Philippe Moureaux,,. qui ferait bien de se méfier de la môme Lizin
Lizin porte la poisse. Sans même la citer nommément, sans doute, pour ne pas écoeurer sa plume, Henri Simonet a réglé définitivement son compte dans son livre « Je n’efface rien et je recommence ». Après avoir cité fort à propos Gustave Flaubert qui disait d’un de ses personnages « Il aurait payé pour pouvoir se vendre », Henri Simonet observe avec détachement: Il y a aussi des gens qui se trahiraient eux-mêmes à seule fin de pouvoir être déloyaux .
Il n’y a plus guère que dans les ambassades de l’Est que l’on prend encore Aune-Marie Lizin au sérieux... ou qu’on y fait semblant. Elle se proclame en effet anti-missiles, anti-atlantique, se prend pour une pasionaria alors qu’elle n’est que la mouche du coche. Cette vira go spécialiste en faussetés discrédite la cause féministe par ses pitreries pas drôles."


Qu'en'è dis't'on ådjoûrdeu ?